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Les Pionniers – MCF

Les Pionniers

Biographie de Raymond Elisée Samyn

Raymond Elisée Samyn reçoit l’appel de Dieu à l’âge de 17 ans. Il commence son ministère avec le revivaliste D.R. Scott qui lui confie l’organisation de ses campagnes d’évangélisation. Pendant la seconde guerre mondiale, il devient aumônier militaire puis est fait prisonnier avant d’être rapatrié en France.

Plus tard, Dieu le conduit à Marseille où il fonde la Mission Chrétienne Française en 1945. Pour annoncer la Parole, il met en place différents moyens : journal d’évangélisation la Vie Nouvelle, téléphone de la prière, conventions mondiales de la foi, missions chrétiennes en Afrique, etc.

A plusieurs reprises, il a des connexions en Hollande ou aux Etats-Unis pour œuvrer aux côtés des pasteurs Johan Maashbach ou Joël Osteen dans des églises de dix ou quinze mille membres. Mais son désir est de travailler là où Dieu l’appelle et il est toujours resté fidèle à son église.

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Je me souviens de cette année 1998 au cours de laquelle l’équipe de France de football est devenue championne du monde, et je revois encore les joueurs, dans la tribune, levant fièrement la coupe. Le pays entier avait exulté de joie. Cette victoire venait mettre fin à des années de frustration au niveau sportif car cette coupe était la première de cette équipe de football, alors que d’autres pays comme le Brésil, l’Italie ou l’Allemagne en possédaient plusieurs.

Cette victoire eut tellement de résonance dans le pays qu’on avait l’impression que la France vivait comme un nouvel élan vers l’avenir et qu’elle avait brisé cette spirale négative de la défaite. Cet évènement a rendu l’avenir prometteur.

Dans les rues, les gens défilaient, manifestaient leur joie, écrivaient des banderoles en l’honneur de l’équipe de football. Le cœur du peuple français était uni derrière cette victoire. Quand je repense à cela, je me dis que le cœur du peuple chrétien devrait être le même pour la maison de Dieu. J’aimerais voir un même zèle pour l’Eglise de Jésus-Christ.

Nous aussi nous devrions exulter de joie en brandissant l’Evangile qui nous donne la victoire en toutes situations, qui nous permet de triompher malgré toutes les difficultés. Nous sommes porteurs d’un merveilleux message d’espoir qui doit remplir notre cœur de joie.

De même que le pays de France traversait une morosité économique au moment de cette coupe du monde, j’ai l’impression que l’Eglise de France traverse également une période un peu difficile, faite de joies et de peines. De la même manière que la victoire sur un terrain de football a suscité autant de joie en France, j’aimerais voir l’Eglise faire la fête de Dieu et se réjouir d’un même cœur.

Si nous regardons autour de nous, nous vivons certainement des contraintes et des difficultés qui font naître un sentiment de découragement. Mais lorsque nous regardons à ce que nous sommes, alors les forces nous reviennent ! Nous sommes les enfants du Dieu tout-puissant ! Nous sommes dans la joie parce qu’un jour, Dieu a tapé à la porte de notre cœur et il est entré dans notre vie. Cela me remplit de joie, et Dieu aime cela. Dieu aime que nous soyons joyeux.

 

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Je me souviens de cette année 1998 au cours de laquelle l’équipe de France de football est devenue championne du monde, et je revois encore les joueurs, dans la tribune, levant fièrement la coupe. Le pays entier avait exulté de joie. Cette victoire venait mettre fin à des années de frustration au niveau sportif car cette coupe était la première de cette équipe de football, alors que d’autres pays comme le Brésil, l’Italie ou l’Allemagne en possédaient plusieurs.

Cette victoire eut tellement de résonance dans le pays qu’on avait l’impression que la France vivait comme un nouvel élan vers l’avenir et qu’elle avait brisé cette spirale négative de la défaite. Cet évènement a rendu l’avenir prometteur.

Dans les rues, les gens défilaient, manifestaient leur joie, écrivaient des banderoles en l’honneur de l’équipe de football. Le cœur du peuple français était uni derrière cette victoire. Quand je repense à cela, je me dis que le cœur du peuple chrétien devrait être le même pour la maison de Dieu. J’aimerais voir un même zèle pour l’Eglise de Jésus-Christ.

Nous aussi nous devrions exulter de joie en brandissant l’Evangile qui nous donne la victoire en toutes situations, qui nous permet de triompher malgré toutes les difficultés. Nous sommes porteurs d’un merveilleux message d’espoir qui doit remplir notre cœur de joie.

De même que le pays de France traversait une morosité économique au moment de cette coupe du monde, j’ai l’impression que l’Eglise de France traverse également une période un peu difficile, faite de joies et de peines. De la même manière que la victoire sur un terrain de football a suscité autant de joie en France, j’aimerais voir l’Eglise faire la fête de Dieu et se réjouir d’un même cœur.

Si nous regardons autour de nous, nous vivons certainement des contraintes et des difficultés qui font naître un sentiment de découragement. Mais lorsque nous regardons à ce que nous sommes, alors les forces nous reviennent ! Nous sommes les enfants du Dieu tout-puissant ! Nous sommes dans la joie parce qu’un jour, Dieu a tapé à la porte de notre cœur et il est entré dans notre vie. Cela me remplit de joie, et Dieu aime cela. Dieu aime que nous soyons joyeux.

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Je me souviens de cette année 1998 au cours de laquelle l’équipe de France de football est devenue championne du monde, et je revois encore les joueurs, dans la tribune, levant fièrement la coupe. Le pays entier avait exulté de joie. Cette victoire venait mettre fin à des années de frustration au niveau sportif car cette coupe était la première de cette équipe de football, alors que d’autres pays comme le Brésil, l’Italie ou l’Allemagne en possédaient plusieurs.

Cette victoire eut tellement de résonnance dans le pays qu’on avait l’impression que la France vivait comme un nouvel élan vers l’avenir et qu’elle avait brisé cette spirale négative de la défaite. Cet évènement a rendu l’avenir prometteur.

Dans les rues, les gens défilaient, manifestaient leur joie, écrivaient des banderoles en l’honneur de l’équipe de football. Le cœur du peuple français était uni derrière cette victoire. Quand je repense à cela, je me dis que le cœur du peuple chrétien devrait être le même pour la maison de Dieu. J’aimerais voir un même zèle pour l’Eglise de Jésus-Christ.

Nous aussi nous devrions exulter de joie en brandissant l’Evangile qui nous donne la victoire en toutes situations, qui nous permet de triompher malgré toutes les difficultés. Nous sommes porteurs d’un merveilleux message d’espoir qui doit remplir notre cœur de joie.

De même que le pays de France traversait une morosité économique au moment de cette coupe du monde, j’ai l’impression que l’Eglise de France traverse également une période un peu difficile, faite de joies et de peines. De la même manière que la victoire sur un terrain de football a suscité autant de joie en France, j’aimerais voir l’Eglise faire la fête de Dieu et se réjouir d’un même cœur.

Si nous regardons autour de nous, nous vivons certainement des contraintes et des difficultés qui font naître un sentiment de découragement. Mais lorsque nous regardons à ce que nous sommes, alors les forces nous reviennent ! Nous sommes les enfants du Dieu tout-puissant ! Nous sommes dans la joie parce qu’un jour, Dieu a tapé à la porte de notre cœur et il est entré dans notre vie. Cela me remplit de joie, et Dieu aime cela. Dieu aime que nous soyons joyeux.

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Je me souviens de cette année 1998 au cours de laquelle l’équipe de France de football est devenue championne du monde, et je revois encore les joueurs, dans la tribune, levant fièrement la coupe. Le pays entier avait exulté de joie. Cette victoire venait mettre fin à des années de frustration au niveau sportif car cette coupe était la première de cette équipe de football, alors que d’autres pays comme le Brésil, l’Italie ou l’Allemagne en possédaient plusieurs.

Cette victoire eut tellement de résonnance dans le pays qu’on avait l’impression que la France vivait comme un nouvel élan vers l’avenir et qu’elle avait brisé cette spirale négative de la défaite. Cet évènement a rendu l’avenir prometteur.

Dans les rues, les gens défilaient, manifestaient leur joie, écrivaient des banderoles en l’honneur de l’équipe de football. Le cœur du peuple français était uni derrière cette victoire. Quand je repense à cela, je me dis que le cœur du peuple chrétien devrait être le même pour la maison de Dieu. J’aimerais voir un même zèle pour l’Eglise de Jésus-Christ.

Nous aussi nous devrions exulter de joie en brandissant l’Evangile qui nous donne la victoire en toutes situations, qui nous permet de triompher malgré toutes les difficultés. Nous sommes porteurs d’un merveilleux message d’espoir qui doit remplir notre cœur de joie.

De même que le pays de France traversait une morosité économique au moment de cette coupe du monde, j’ai l’impression que l’Eglise de France traverse également une période un peu difficile, faite de joies et de peines. De la même manière que la victoire sur un terrain de football a suscité autant de joie en France, j’aimerais voir l’Eglise faire la fête de Dieu et se réjouir d’un même cœur.

Si nous regardons autour de nous, nous vivons certainement des contraintes et des difficultés qui font naître un sentiment de découragement. Mais lorsque nous regardons à ce que nous sommes, alors les forces nous reviennent ! Nous sommes les enfants du Dieu tout-puissant ! Nous sommes dans la joie parce qu’un jour, Dieu a tapé à la porte de notre cœur et il est entré dans notre vie. Cela me remplit de joie, et Dieu aime cela. Dieu aime que nous soyons joyeux.

 

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Biographie de Raphaël Sébastien Bartolini

Le pasteur Samyn a suscité de nombreuses vocations parmi les jeunes, notamment celle de Raphaël Sébastien Bartolini. Converti et appelé dès son plus jeune âge au service de Dieu, R.S. Bartolini a appris de lui ce qu’est une vie de consécration en gardant la foi.

Le pasteur Bartolini est consacré en 1964 et devient pour le pasteur Samyn une grande aide dans l’œuvre du Seigneur, aide sur laquelle il peut compter et qui lui permet d’accepter les invitations reçues de l’étranger.

Selon la volonté de Dieu et la vision reçue, le pasteur Samyn passe le flambeau à son fils spirituel qui exerce son ministère depuis 30 ans au sein de la Mission Chrétienne Française.

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Je me souviens de cette année 1998 au cours de laquelle l’équipe de France de football est devenue championne du monde, et je revois encore les joueurs, dans la tribune, levant fièrement la coupe. Le pays entier avait exulté de joie. Cette victoire venait mettre fin à des années de frustration au niveau sportif car cette coupe était la première de cette équipe de football, alors que d’autres pays comme le Brésil, l’Italie ou l’Allemagne en possédaient plusieurs.

Cette victoire eut tellement de résonance dans le pays qu’on avait l’impression que la France vivait comme un nouvel élan vers l’avenir et qu’elle avait brisé cette spirale négative de la défaite. Cet évènement a rendu l’avenir prometteur.

Dans les rues, les gens défilaient, manifestaient leur joie, écrivaient des banderoles en l’honneur de l’équipe de football. Le cœur du peuple français était uni derrière cette victoire. Quand je repense à cela, je me dis que le cœur du peuple chrétien devrait être le même pour la maison de Dieu. J’aimerais voir un même zèle pour l’Eglise de Jésus-Christ.

Nous aussi nous devrions exulter de joie en brandissant l’Evangile qui nous donne la victoire en toutes situations, qui nous permet de triompher malgré toutes les difficultés. Nous sommes porteurs d’un merveilleux message d’espoir qui doit remplir notre cœur de joie.

De même que le pays de France traversait une morosité économique au moment de cette coupe du monde, j’ai l’impression que l’Eglise de France traverse également une période un peu difficile, faite de joies et de peines. De la même manière que la victoire sur un terrain de football a suscité autant de joie en France, j’aimerais voir l’Eglise faire la fête de Dieu et se réjouir d’un même cœur.

Si nous regardons autour de nous, nous vivons certainement des contraintes et des difficultés qui font naître un sentiment de découragement. Mais lorsque nous regardons à ce que nous sommes, alors les forces nous reviennent ! Nous sommes les enfants du Dieu tout-puissant ! Nous sommes dans la joie parce qu’un jour, Dieu a tapé à la porte de notre cœur et il est entré dans notre vie. Cela me remplit de joie, et Dieu aime cela. Dieu aime que nous soyons joyeux.

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Je me souviens de cette année 1998 au cours de laquelle l’équipe de France de football est devenue championne du monde, et je revois encore les joueurs, dans la tribune, levant fièrement la coupe. Le pays entier avait exulté de joie. Cette victoire venait mettre fin à des années de frustration au niveau sportif car cette coupe était la première de cette équipe de football, alors que d’autres pays comme le Brésil, l’Italie ou l’Allemagne en possédaient plusieurs.

Cette victoire eut tellement de résonance dans le pays qu’on avait l’impression que la France vivait comme un nouvel élan vers l’avenir et qu’elle avait brisé cette spirale négative de la défaite. Cet évènement a rendu l’avenir prometteur.

Dans les rues, les gens défilaient, manifestaient leur joie, écrivaient des banderoles en l’honneur de l’équipe de football. Le cœur du peuple français était uni derrière cette victoire. Quand je repense à cela, je me dis que le cœur du peuple chrétien devrait être le même pour la maison de Dieu. J’aimerais voir un même zèle pour l’Eglise de Jésus-Christ.

Nous aussi nous devrions exulter de joie en brandissant l’Evangile qui nous donne la victoire en toutes situations, qui nous permet de triompher malgré toutes les difficultés. Nous sommes porteurs d’un merveilleux message d’espoir qui doit remplir notre cœur de joie.

De même que le pays de France traversait une morosité économique au moment de cette coupe du monde, j’ai l’impression que l’Eglise de France traverse également une période un peu difficile, faite de joies et de peines. De la même manière que la victoire sur un terrain de football a suscité autant de joie en France, j’aimerais voir l’Eglise faire la fête de Dieu et se réjouir d’un même cœur.

Si nous regardons autour de nous, nous vivons certainement des contraintes et des difficultés qui font naître un sentiment de découragement. Mais lorsque nous regardons à ce que nous sommes, alors les forces nous reviennent ! Nous sommes les enfants du Dieu tout-puissant ! Nous sommes dans la joie parce qu’un jour, Dieu a tapé à la porte de notre cœur et il est entré dans notre vie. Cela me remplit de joie, et Dieu aime cela. Dieu aime que nous soyons joyeux.

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Je me souviens de cette année 1998 au cours de laquelle l’équipe de France de football est devenue championne du monde, et je revois encore les joueurs, dans la tribune, levant fièrement la coupe. Le pays entier avait exulté de joie. Cette victoire venait mettre fin à des années de frustration au niveau sportif car cette coupe était la première de cette équipe de football, alors que d’autres pays comme le Brésil, l’Italie ou l’Allemagne en possédaient plusieurs.

Cette victoire eut tellement de résonnance dans le pays qu’on avait l’impression que la France vivait comme un nouvel élan vers l’avenir et qu’elle avait brisé cette spirale négative de la défaite. Cet évènement a rendu l’avenir prometteur.

Dans les rues, les gens défilaient, manifestaient leur joie, écrivaient des banderoles en l’honneur de l’équipe de football. Le cœur du peuple français était uni derrière cette victoire. Quand je repense à cela, je me dis que le cœur du peuple chrétien devrait être le même pour la maison de Dieu. J’aimerais voir un même zèle pour l’Eglise de Jésus-Christ.

Nous aussi nous devrions exulter de joie en brandissant l’Evangile qui nous donne la victoire en toutes situations, qui nous permet de triompher malgré toutes les difficultés. Nous sommes porteurs d’un merveilleux message d’espoir qui doit remplir notre cœur de joie.

De même que le pays de France traversait une morosité économique au moment de cette coupe du monde, j’ai l’impression que l’Eglise de France traverse également une période un peu difficile, faite de joies et de peines. De la même manière que la victoire sur un terrain de football a suscité autant de joie en France, j’aimerais voir l’Eglise faire la fête de Dieu et se réjouir d’un même cœur.

Si nous regardons autour de nous, nous vivons certainement des contraintes et des difficultés qui font naître un sentiment de découragement. Mais lorsque nous regardons à ce que nous sommes, alors les forces nous reviennent ! Nous sommes les enfants du Dieu tout-puissant ! Nous sommes dans la joie parce qu’un jour, Dieu a tapé à la porte de notre cœur et il est entré dans notre vie. Cela me remplit de joie, et Dieu aime cela. Dieu aime que nous soyons joyeux.

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Je me souviens de cette année 1998 au cours de laquelle l’équipe de France de football est devenue championne du monde, et je revois encore les joueurs, dans la tribune, levant fièrement la coupe. Le pays entier avait exulté de joie. Cette victoire venait mettre fin à des années de frustration au niveau sportif car cette coupe était la première de cette équipe de football, alors que d’autres pays comme le Brésil, l’Italie ou l’Allemagne en possédaient plusieurs.

Cette victoire eut tellement de résonnance dans le pays qu’on avait l’impression que la France vivait comme un nouvel élan vers l’avenir et qu’elle avait brisé cette spirale négative de la défaite. Cet évènement a rendu l’avenir prometteur.

Dans les rues, les gens défilaient, manifestaient leur joie, écrivaient des banderoles en l’honneur de l’équipe de football. Le cœur du peuple français était uni derrière cette victoire. Quand je repense à cela, je me dis que le cœur du peuple chrétien devrait être le même pour la maison de Dieu. J’aimerais voir un même zèle pour l’Eglise de Jésus-Christ.

Nous aussi nous devrions exulter de joie en brandissant l’Evangile qui nous donne la victoire en toutes situations, qui nous permet de triompher malgré toutes les difficultés. Nous sommes porteurs d’un merveilleux message d’espoir qui doit remplir notre cœur de joie.

De même que le pays de France traversait une morosité économique au moment de cette coupe du monde, j’ai l’impression que l’Eglise de France traverse également une période un peu difficile, faite de joies et de peines. De la même manière que la victoire sur un terrain de football a suscité autant de joie en France, j’aimerais voir l’Eglise faire la fête de Dieu et se réjouir d’un même cœur.

Si nous regardons autour de nous, nous vivons certainement des contraintes et des difficultés qui font naître un sentiment de découragement. Mais lorsque nous regardons à ce que nous sommes, alors les forces nous reviennent ! Nous sommes les enfants du Dieu tout-puissant ! Nous sommes dans la joie parce qu’un jour, Dieu a tapé à la porte de notre cœur et il est entré dans notre vie. Cela me remplit de joie, et Dieu aime cela. Dieu aime que nous soyons joyeux.

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Après leur départ vers le Père, le pasteur Bernard Emkeyes est oint pour poursuivre ce travail, à la gloire de Dieu.