Nous avons souvent parlé de notre communion, de notre relation avec le Seigneur, et nous sommes tous convaincus qu’en tant que chrétiens, il est essentiel que nous ayons des temps d’intimité avec Dieu afin de toucher son cœur.
La Bible nous parle également de l’importance de la communion fraternelle. Le Seigneur nous invite à pouvoir nous aimer les uns les autres, et souvent, ce sujet est difficile à mettre en pratique. Ne serait-ce que le fait de travailler ensemble peut se révéler compliqué. Dans notre société qui nous encourage davantage à travailler de manière individuelle, travailler en équipe est souvent la source de heurts et de conflits.
Le désir de Dieu est que nous travaillions ensemble, dans l’unité, afin de rechercher sa gloire. Pour cela, il y a deux piliers fondamentaux :
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Avoir un objectif commun. Pour nous, l’Eglise de France, notre but est de voir ce pays se tourner vers Dieu et sa gloire se manifester.
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Avoir une bonne communication. Sans cette communication, le travail en équipe n’est pas cohérent et il ne peut y avoir de succès.
Un objectif commun et une bonne communication nous donnent les clés du succès. Un groupe de travail, aussi performant soit-il, ne peut réussir s’il n’a pas une bonne communication. De même, un groupe qui communique bien et qui est performant, ne peut réussir s’il n’a pas le même objectif. Et aujourd’hui, nous sommes conscients que la gloire de Dieu ne se manifestera qu’au travers d’un bon travail d’équipe, c’est-à-dire de l’unité. L’Eglise n’est pas au service d’un homme, mais elle permet au serviteur de Dieu de rentrer dans son appel pour servir Dieu et manifester sa puissance.
9 Deux valent mieux qu’un, parce qu’ils retirent un bon salaire de leur travail. 10 Car, s’ils tombent, l’un relève son compagnon; mais malheur à celui qui est seul et qui tombe, sans avoir un second pour le relever !
Ecclésiaste 4 : 9-12
Ce verset nous montre que nous portons beaucoup plus de fruits lorsque nous travaillons ensemble ; plus nous sommes unis, plus nous communiquons les uns avec les autres, et plus nous sommes efficaces pour l’oeuvre de Dieu.
Soyez unis pour être efficaces
Dieu donne un objectif à son Eglise ! Pour l’atteindre, nous avons besoin d’être tous ensemble et d’avancer main dans la main. Si nous voulons voir le réveil en France, ce n’est pas le travail d’un homme, mais celui de l’Eglise de France ! C’est votre travail à tous ! Et pour atteindre cet objectif commun, nous ne devons pas rester chacun dans notre coin, mais nous unir, communiquer ensemble, afin de voir la gloire de Dieu se manifester.
Jésus lui-même envoyait les disciples deux par deux pour annoncer le bonne nouvelle de l’Evangile. Cette notion d’équipe était déjà présente. Travailler ensemble porte beaucoup de fruits, mais c’est aussi le début des soucis. Nous savons tous travailler seuls car la société nous a formés à cela ; notre éducation nous pousse à nous débrouiller tout seuls afin de n’avoir besoin de personne. Mais ce type d’organisation est néfaste car la Bible nous appelle à former un même corps. Pour pouvoir travailler ensemble, nous devons commencer par travailler notre caractère. Nous devons gommer notre individualisme pour apprendre à être collectifs.
Néhémie est véritablement un exemple de travail en équipe. Nous voyons au chapitre 4 qu’il doit faire face à des personnes qui se moquent de lui et qui ne croient pas en son projet. Souvent, les ennemis extérieurs nous permettent d’avoir une promotion. Par exemple, David s’est fait connaître lorsqu’il a vaincu le géant Goliath. Les ennemis extérieurs nous unissent et nous donnent de resserrer les rangs. Lorsqu’un membre d’une famille traverse une épreuve, les autres membres se rassemblent pour le soutenir. La difficulté de l’un d’entre eux amène à l’unité de tous.
Si l’ennemi extérieur peut amener de l’unité au sein d’un groupe, la difficulté est plus grande lorsqu’il y a de la division au sein même du groupe. En effet, le plus dur est lorsque vos ennemis ne sont pas à l’extérieur mais à l’intérieur. Il est beaucoup plus difficile pour une famille de faire face à une division avec l’un de ses enfants qu’avec son voisin d’à côté. Au chapitre 5 du livre de Néhémie, nous lisons comment ses ennemis ont essayé de détourner certains juifs afin de faire échouer son projet. Comment a réagi Néhémie ? Sa réaction est surprenante : il s’est mis en colère.
6 Je fus très irrité lorsque j’entendis leurs plaintes et ces paroles-là. 7 Je résolus de faire des réprimandes aux grands et aux magistrats, et je leur dis : Quoi ! vous prêtez à intérêt à vos frères ! Et je rassemblai autour d’eux une grande foule,
Néhémie 5 : 6-7
La colère n’est pas toujours mauvaise. Je vous rappelle que Jésus s’est mis en colère contre les vendeurs du temple car leur comportement offensait Dieu. Pourquoi Néhémie réprimande-t-il ses compagnons ? Parce qu’il était conscient d’une chose : les querelles internes sont néfastes et vont à l’encontre de l’oeuvre de Dieu. Il savait que s’il voulait accomplir la mission que lui avait confiée Dieu, reconstruire la muraille de Jérusalem, il devait commencer par rassembler, par unir le peuple.
Je pense qu’il est important de remettre les pendules à l’heure de temps en temps. Notre objectif est d’atteindre la France ! Partant de là, je ne comprends pas que nous ne puissions pas surmonter nos désaccords entre frères et soeurs ! Cela montre le niveau de notre foi. Si chaque fois qu’un membre a un problème avec un autre membre, il ne doit plus venir à l’Eglise, je me demande où est Dieu dans tout cela ? Que pense le Seigneur d’une telle attitude ? Ce ne sont que des réactions charnelles qui peuvent nous amener à passer à côté du plan de Dieu. Les ennemis n’ont pas attaqué directement Néhémie, ils voulaient déstabiliser les ouvriers de Dieu. Si les ennemis arrivaient à semer la division dans le groupe, c’était tout le projet qui était menacé. Et ils savaient qu’il leur serait plus facile de créer la discorde au sein du groupe plutôt que de faire chuter Néhémie car il était ferme dans ses convictions. Il était focalisé sur l’objectif, et cela l’amenait toujours à aller de l’avant sans s’arrêter à chaque difficulté.
C’est pour cela que Dieu nous appelle à veiller à l’unité de l’Eglise. L’ennemi essaiera toujours de créer la division pour faire échouer les plans de Dieu. Il va toucher notre orgueil, notre susceptibilité ; il va s’en prendre à notre chair. Et c’est parce que Néhémie savait que ces querelles pouvaient faire échouer la reconstruction, qu’il s’est mis en colère ! Son attitude était bonne ! Sa colère n’était pas charnelle, elle avait pour objectif de remettre tout le monde dans le droit chemin.
Elle est différente de la colère qui est réprimandée par Dieu et qui amène la division.
19 Sachez-le, mes frères bien-aimés. Ainsi, que tout homme soit prompt à écouter, lent à parler, lent à se mettre en colère; 20 car la colère de l’homme n’accomplit pas la justice de Dieu.
Jacques 1 : 19-20
Sachez-le : la colère qui entraine la désunion du corps de Christ est réprimandée par Dieu. Il s’agit de la colère charnelle, celle qui est provoquée par notre orgueil mal placé. C’est une mauvaise colère car elle crée des rancoeurs. Ne pensez pas qu’elle soit sans effet. Parfois, nous pouvons entendre des personnes dire : « Je me suis mis en colère et mes mots ont dépassé ma pensée. Mais maintenant, c’est passé, je n’y pense plus ». Mais la personne d’en face a été touchée, blessée !
Cette colère peut pousser les personnes à vouloir se venger. Mais ce n’est pas une réaction chrétienne. Nous commettons tous des erreurs car personne n’est parfait ! Jésus a dit : « Que celui qui n’a jamais péché jette la première pierre ! ».
SOYEZ DES SERVITEURS
Le travail en équipe, c’est avant tout des personnes qui se mettent au service d’un objectif à atteindre. Cet objectif n’est pas la réussite de l’un ou de l’autre, c’est avant tout la gloire de Dieu. Là encore, nous devons veiller à garder la priorité du service, car souvent, dès que nous confions des responsabilités à certaines personnes, très vite, elles se font absorber par leur position de responsables. Elles se focalisent tellement sur leur fonction qu’elles ne vivent plus leur appel, c’est-à-dire le service.
L’oeuvre de Dieu n’est pas une entreprise humaine. Elle n’a pas pour objectif de servir les intérêts d’une ou de plusieurs personnes. Dans l’oeuvre de Dieu, nous sommes tous des serviteurs qui travaillons pour Dieu. Personne n’a une position fixe, déterminée ; la Bible nous dit même : « Tout ce que ta main trouve à faire avec ta force, fais-le » (Ecclésiaste 9 v.10). En tant que chrétiens travaillant pour Dieu, nous devons dire : « Seigneur, me voici. Si je dois prier pour un frère, alors je prierai pour lui. Si je dois faire le ménage, alors je le ferai. ». Dieu nous appelle avant tout à le servir, et non pas à occuper une position. Ne soyons pas prisonniers d’un titre qui nous étouffe et finit par rendre notre cœur insensible.
Même lorsqu’une personne vous fait du mal ou vous critique, vous ne devez pas lui en vouloir ; ce serait une colère charnelle. Je vous rappelle que Christ est mort pour tous, y compris ceux qui vous ont fait souffrir. La croix pardonne vos péchés, mais aussi ceux des autres. Alors bénissez vos ennemis. Nous sommes tous pécheurs et nous faisons tous du mal autour de nous, sans le vouloir ; pardonnez afin que vous aussi, vous soyez pardonnés.
Lorsque Néhémie s’est énervé, il voulait replacer Dieu au centre ; il voulait que son groupe se focalise de nouveau sur la tâche que Dieu leur avait confiée. Nous aussi, dans nos Eglises, il est nécessaire que nous replacions Dieu au centre de notre travail car je vous le répète : nous sommes avant tout des serviteurs. Notre vie doit être utile à la gloire de Dieu.
Laissons de côté notre susceptibilité charnelle ; elle est comme une pierre d’achoppement sur notre route qui nous empêche d’accomplir la volonté de Dieu. Elle peut même faire de nous des freins à l’oeuvre de Dieu. Elle amène la discorde et empêche la bénédiction de Dieu de se répandre. Ne laissez pas les critiques ni les mauvaises paroles vous détourner du chemin de Dieu. Jésus nous a montré l’exemple : il a été calomnié, injurié, crucifié ! Malgré toutes ces souffrances, il est resté focalisé sur sa mission et l’a menée à bien. Nous aussi nous devons savoir faire face aux épreuves car le principal pour un enfant de Dieu est d’accomplir la volonté divine.
Nous ne devons pas non plus créer des conflits de générations dans nos Eglises. Notre société parle de plus en plus d’opposition entre l’ancienne génération et la nouvelle, mais c’est une erreur qui ne crée que de la division ! Nos jeunes ont besoin du savoir des anciens pour grandir spirituellement, pour apprendre à connaître la profondeur de Dieu. L’oeuvre de Dieu a besoin du dynamisme des jeunes et du savoir des anciens pour avancer efficacement. Il n’y a pas de conflit entre les générations, mais au contraire, une relation étroite d’échange et de partage.
Nous devons vivre ensemble et nous soutenir. Il est normal que les pères et les mères des Eglises aident les jeunes à grandir et à évoluer dans leur vie. Comme dans une famille, cette relation est essentielle. Alors ne rentrons pas dans un affrontement intergénérationnel : « Si les jeunes veulent faire ainsi, qu’ils le fassent ! Et nous verrons s’ils sont plus capables que nous ». Cette attitude n’est pas saine. Nous ne devons pas créer des conflits mais rechercher l’unité. Christ est mort à la croix pour arracher les âmes des ténèbres ! Nous ne pouvons pas perdre notre énergie dans des disputes charnelles. Notre objectif est de voir un pays se tourner vers Dieu ! De voir des millions d’âmes venir à Christ ! Pas de savoir qui a raison ou qui est le plus capable ! Nous devons prendre conscience de la hauteur de la mission que Dieu nous a confiée et avoir une attitude qui en soit digne.
Le sentiment d’exclusion est également un autre obstacle à une bonne communion. Certains se sentent exclus parce qu’on a confié l’organisation d’un événement à une autre personne. Mais dans l’oeuvre de Dieu, personne n’est exclu ! Tout le monde a sa place ! Et si vous avez l’impression d’être exclus, la plupart du temps, c’est votre chair qui parle. Alors, ne créons pas de problèmes là où il n’en existe pas.
Dans l’oeuvre de Dieu, nous avons tous à apprendre les uns des autres. Le principal est de nous mettre au service de l’oeuvre. Avoir un cœur bien disposé, c’est être prêts à faire non pas ce que nous voulons, mais ce que l’Eglise nous demande de faire pour que le travail avance. Par exemple, nous avons récemment reçu un groupe de quarante jeunes américains venant d’une Eglise du Texas. Dès que nous avons fait cette annonce à l’assemblée, des frères et des sœurs sont venus me voir spontanément pour proposer leur aide pour les loger, les transporter, préparer des repas.
AYEZ UN REGARD D’AMOUR
La suite du chapitre 5 nous montre comment fit Néhémie pour ramener la paix dans son groupe et comment il put achever la reconstruction de la muraille. Pour ramener la cohésion, il a utilisé le pardon.
Pour approfondir notre communion, nous avons besoin de nous connaître, de travailler ensemble, d’avoir un objectif commun, de réfléchir ensemble aux méthodes utilisées. Une bonne relation se base sur la sincérité et l’authenticité. Nous avons besoin de nous parler de manière franche et non hypocrite. N’oubliez pas que Jésus a rejeté l’hypocrisie pour remettre l’amour au centre des relations.
En plaçant l’amour au centre de nos relations fraternelles, l’atmosphère devient tout de suite meilleure. Mais ce n’est pas facile car en France, nous aimons bien râler ! Nous sommes prêts à jeter la première pierre mais rarement à reconnaître les bonnes choses. La Bible nous appelle à encourager, à aider, à soutenir. Notre rôle n’est pas de diminuer, de frustrer, mais de mettre en valeur les dons que Dieu a mis en chacun. Pour cela, nous devons apprendre à regarder au positif et à laisser de côté le négatif, même lorsque cela ne se passe pas bien avec une personne.
N’avez-vous pas remarqué que lorsque nous n’aimons pas trop une personne, nous avons tendance à remarquer ses défauts plutôt que ses qualités ? Nous nous focalisons tellement sur ses défauts que nous finissons par oublier même tout ce qu’il y a de bon en elle. Cela me désole beaucoup de voir une personne qui ne reconnait pas la valeur de son frère ou de sa sœur. Je trouve cette attitude injuste et contraire à la pensée de Dieu. La personne peut être dévouée pour l’oeuvre de Dieu, passer beaucoup de temps au service de l’Eglise, mais à la moindre erreur, on la condamne. Une faille, un défaut prend le dessus sur tout le reste. C’est à croire que ces personnes sont obsédées par les défauts. Mais ce n’est pas une attitude chrétienne.
Combien de fois j’entends des frères et des sœurs qui se critiquent entre eux. Cela se voit même dans les Eglises. Mais ce n’est pas la définition que Jésus donne de la relation fraternelle ! Nous ne devons pas nous focaliser sur les défauts des personnes ! La Bible nous appelle au contraire à encourager, à aider, à soutenir, à communiquer ! Nous avons tous des limites et personne n’est parfait. Nous avons tous des domaines dans lesquels nous sommes performants, et d’autres dans lesquels nous ne sommes pas bons.
Demander à son prochain la perfection sous-entend que nous nous voyons comme parfaits ! Mais quel orgueil ! Nous sommes imparfaits, et nos proches, comme nous-mêmes, avons des défauts. Notre rôle n’est pas de regarder aux incompétences de tous, mais au contraire, de voir ce qu’il y a de bon en chacun.
19 Ainsi donc, recherchons ce qui contribue à la paix et à l’édification mutuelle. 20 Pour un aliment, ne détruis pas l’oeuvre de Dieu. A la vérité toutes choses sont pures; mais il est mal à l’homme, quand il mange, de devenir une pierre d’achoppement.
Romains 14 : 19-20
Ne négligez pas l’oeuvre de Christ à la croix. N’oubliez pas que Jésus n’est pas venu pour diminuer mais pour élever chaque personne. Ne prêtez pas attention aux personnes odieuses ou immatures. Ne considérez pas celui qui est désagréable comme un ennemi parce que Jésus est également mort pour lui ; il a pris son péché et l’a effacé. Dieu nous appelle à transformer le monde à l’extérieur et non pas à juger notre famille intérieure.
16 Que votre privilège ne soit pas un sujet de calomnie. 17 Car le royaume de Dieu, ce n’est pas le manger et le boire, mais la justice, la paix et la joie, par le Saint-Esprit.
Romains 14 : 16-17
Dieu est un Dieu de paix. Il rejette la critique, la dureté de cœur, la condamnation. Il veut que nous vivions en harmonie au sein de son Eglise. Son désir est que notre communion soit sincère et véritable ! Non pas une communion de façade, mais une communion de cœur.
Le ciment de notre communion fraternelle est avant tout la disposition de notre cœur. Peu importe ce que nous faisons, combien de tâches nous effectuons pour le Seigneur. L’essentiel est d’obéir au commandement de Christ qui nous invite à aimer notre prochain. Nous sommes des serviteurs, et notre devoir est de faire ce que Dieu nous dit, et non pas de vouloir faire plus que notre voisin ni de vouloir faire beaucoup pour nous montrer. Nous mettons notre vie à la disposition de Dieu, et c’est au Père de nous dire ce que nous devons faire, pas à nous. Vivre une communion sincère, cela s’apprend. Et cela commence par de la docilité : nous ne sommes pas là pour faire ce que nous avons envie, mais pour faire ce dont l’oeuvre de Dieu a besoin.
L’objectif à atteindre, pour nous qui sommes enfants de Dieu, c’est de voir Dieu glorifié dans notre pays. Et nous ne devons pas perdre de vue ce but. Restons concentrés sur l’essentiel, recentrons-nous sur ce véritable objectif. Beaucoup de pays vivent ou ont déjà vécu le réveil, et je crois que cela va arriver en France. Mais c’est à nous de nous en emparer car la moisson est prête.
13 Que le Dieu de l’espérance vous remplisse de toute joie et de toute paix dans la foi, pour que vous abondiez en espérance, par la puissance du Saint-Esprit !
Romains 15 : 13
La joie, la paix, la foi et l’espérance sont quatre points essentiels que nous devons cultiver.
Nous ne devons pas rechercher une position, mais à être des serviteurs. Nous ne devons pas rechercher notre intérêt personnel, mais l’objectif commun que Dieu nous donne. Nous devons rechercher la joie et la paix dans notre cœur. Nous devons rechercher l’obéissance à Dieu car le monde changera par la puissance du Saint-Esprit.
Je n’aspire pas à voir une Eglise parfaite ! Elle n’existe pas et n’a d’ailleurs, jamais existé, même pas au temps de Jésus. Il y a des problèmes dans toutes les familles, c’est normal. Mais cela ne nous empêche pas de vivre une communion fraternelle sincère et de rechercher tous ensemble la manifestation de la puissance de Dieu.
Une réponse sur “Approfondir notre communion”
Seigneur dirige moi vers ceux avec qui tu veux que travail,qui ont le même objectif et la même vision que tu m’as accordée.
Dirige les aussi vers moi