J’ai la conviction intérieure que Dieu est en train de susciter une nouvelle génération qui recherche avant tout la sincérité et la mise en pratique de sa Parole afin de vivre une vie différente du monde. Il veut lever une génération selon son cœur !
J’aime voir cette génération avec un cœur brulant, à l’écoute de Dieu, qui veut apporter l’amour, la compassion et la délivrance, qui est prête à vivre selon la destinée de Dieu une vie qui vaille la peine d’être vécue. Nous sommes le peuple que Dieu a choisi. En tant qu’enfants de Dieu, nous sommes différents du monde. Dieu nous appelle à être des témoins qui proclament sa vérité et sa justice. « Qui enverrai-je ? » dit le Seigneur.
Les chrétiens doivent-ils être influencés par ce que fait le monde, ou par ce que fait le peuple de Dieu ?
1 De Salomon. O Dieu, donne tes jugements au roi, Et ta justice au fils du roi ! 2 Il jugera ton peuple avec justice, Et tes malheureux avec équité.
Psaumes 72 : 1-20
La bible est un livre formidable et rempli d’espérance : c’est le livre de la vie. Ses versets nous révèlent le cœur du Père et nous montrent à quel point Dieu est sensible envers les âmes meurtries, blessées, affligées. Le cœur de Dieu est rempli d’amour, et il veut le manifester. Le Psaume 72 nous rappelle que seul Dieu fait des prodiges, et cela nous donne de l’espérance !
Quand nous regardons à notre société, nous voyons combien il y a d’injustices et de choses qui vont mal. Ensuite, lorsque nous lisons ce Psaume 72, nous pouvons nous demander où est Dieu ? Que fait Dieu alors qu’il se passe autant de catastrophes ? Beaucoup de personnes se posent cette question.
Mais en réagissant ainsi, les personnes ont tendance à se plaindre et à s’en prendre à Dieu. Il y a comme une confrontation : « Dieu, pourquoi tu n’agis pas ainsi ? ». Face à cela, certains répondent que ce n’est pas la faute de Dieu mais de l’être humain. Après tout, Dieu nous a donné un jardin et c’est nous qui le cultivons. Ainsi, c’est notre égoïsme qui a amené l’injustice.
Peu importe l’explication que nous pouvons donner, peu importe les théories que nous pouvons formuler ; Dieu est le seul à pouvoir faire des prodiges et à apporter la solution. Jésus a pris sur lui l’injustice qui devait retomber sur l’homme et nous a ainsi libérés du péché.
UN CŒUR POUR LES PERDUS
La nature même de l’homme est pécheresse, mais Jésus a porté notre péché pour nous en libérer.
32 Le passage de l’Ecriture qu’il lisait était celui-ci : Il a été mené comme une brebis à la boucherie; Et, comme un agneau muet devant celui qui le tond, Il n’a point ouvert la bouche.
Actes 8 : 32
Ces versets sont très importants non pas pour condamner les hommes qui ont agi ainsi envers Christ, mais pour nous rappeler ce que Christ a fait pour nous : il a porté notre injustice, notre maladie, notre pauvreté. Jésus est passé par la croix, mais son but était de nous libérer du poids du péché et de nous rendre réellement libres.
« Dans son humiliation, son jugement a été levé. Et sa postérité, qui la dépeindra ? ».
Notre condamnation a été levée, et aujourd’hui, nous sommes appelés à répandre cette bonne nouvelle dans la société dans laquelle nous vivons. Non seulement nous devons annoncer la Parole de Dieu, mais nous devons également la vivre ! Les personnes qui nous entourent doivent voir que nous sommes enfants de Dieu.
Enfant de Dieu n’est pas seulement un titre honorifique, c’est un style de vie que nous devons mettre en pratique dans notre quotidien. Notre vie doit refléter l’image de Christ. N’ayons pas peur de faire la différence avec le monde ! Dieu nous place à la tête et non pas à la queue ! Il nous donne la capacité de faire de grandes choses ! Et par le Nom de Jésus, nous pouvons voir les prodiges de Dieu se manifester. Notre Dieu n’est pas mort ! Le temps des miracles n’est pas fini ! Mais Dieu a besoin de vous ! Si c’est bien Dieu qui fait les prodiges, vous, vous êtes le canal par lequel il agit.
Nous ne devons pas nous arrêter au simple fait d’avoir été justifiés. De même que Jean Baptiste criait dans le désert pour dénoncer l’errance du peuple hébreu, notre voix doit se faire entendre afin que le message de Dieu soit annoncé à tous les pécheurs ! De plus, n’oublions pas que si nous avons été justifiés par le sang de Christ, nous continuons à être des pécheurs ; ainsi, nous avons toujours besoin d’être corrigés par la Parole de Dieu.
L’injustice est présente partout autour de nous ; mais si nous portons l’amour de Christ dans notre cœur, nous ne pouvons pas être indifférents. Notre devoir est d’apporter à notre prochain des paroles afin qu’il puisse sortir des ténèbres. Dieu nous utilise afin d’apporter au monde un jour nouveau.
Le psaume 72 nous révèle le cœur de Dieu, et nous invite à lutter contre ce qui est mal à ses yeux. Qu’en est-il de votre engagement ? Avez-vous revêtu vos habits d’enfants de Dieu ? Vous êtes-vous engagés à ne plus faire le mal ? Je parle d’un engagement personnel, qui vous concerne.
Cet engagement est essentiel car vous ne pouvez pas dire aux autres de ne pas faire ce qui est mal si vous-mêmes vous le faites.
Verset 2 : « Il jugera ton peuple avec justice, et tes malheureux avec équité ».
Dans l’Ancien Testament, Dieu jugeait selon les actes. Mais Christ apporte la grâce et surtout, il nous rend justes, il nous rend semblables à lui. Mais sur ce point-là, j’observe que souvent nous avons du mal à vivre ce principe. Je veux dire ici que beaucoup pensent encore qu’ils seront justifiés par leurs bonnes actions et oublient que nous sommes justifiés par Jésus. Dieu ne nous pardonne pas au travers de nos bonnes œuvres, mais par le sacrifice de Christ à la croix. Nous devons notre salut à Jésus, et non pas à nos bonnes actions.
Pour autant, je ne suis pas en train de dire que nous pouvons faire impunément le mal ! Non ! Nous devons vivre selon les principes de Dieu parce que nous sommes ses enfants ! Dieu nous appelle à marcher selon sa Parole parce que nous sommes son peuple. Et c’est en marchant dans la vérité que nous verrons les prodiges de Dieu s’accomplir. Tout vient de lui ! Nous ne devons pas nous appuyer sur nos propres forces, mais sur Dieu.
Le cœur de Dieu justifie l’injuste. Nous obtenons cette justification par la grâce et la faveur imméritée de notre seigneur Jésus-Christ. Lorsque Dieu justifie un pécheur, c’est pour qu’ensuite il haïsse le péché. Nous devenons justes parce que la nature de Christ se manifeste en nous.
UN CŒUR D’AMOUR
Dans son cœur, Dieu se soucie de chacun de vous comme d’une personne qui lui appartient, et il souffre lorsque vous souffrez. Dieu dit souvent : « Vous êtes mon peuple ! Vous m’appartenez ! ». Nous, chrétiens, nous sommes le peuple des rachetés : nous avons été rachetés par le sacrifice de Christ à la croix. Ainsi, tous ce que nous faisons ou que nous vivons intéresse Dieu au plus haut point ! Les parents peuvent facilement comprendre cela car lorsque vous avez un enfant, vous vous intéressez à ce qu’il vit. Vous vous sentez concernés par ses joies, par ses peines, par ses difficultés et ses erreurs. Même si vous ne le vivez pas directement, tout ce qui lui arrive vous touche.
Plus encore, Dieu nous dit que les affaires de notre frère ou de notre sœur nous concernent également (1Corinthiens 12 v.26). C’est une erreur de ne pas être touchés par les problèmes des autres et cela marque simplement notre indifférence et notre manque d’amour. Nous ne formons qu’un seul corps, et si nous voyons un frère ou une sœur dans la souffrance ou dans l’erreur, nous devons aller à son aide. Notre devoir n’est pas de condamner ni de juger, mais d’apporter la lumière de Christ.
Le cœur de Dieu souffre lorsqu’un seul de ses enfants souffre. Il est sensible à chaque personne qui traverse des difficultés. Que ce soit une personne qui dorme dans la rue, une personne qui vive des combats, nous sommes concernés car nous pouvons apporter une solution. Nous connaissons la Parole de Dieu qui est une Parole toute puissante pouvant transformer toutes les situations.
Dieu n’est pas indifférent à la souffrance des autres, mais qu’en est-il de nous ? Dieu nous appelle à avoir un cœur pour le monde. Mais nous avons trop souvent un regard de jugement ! Lorsqu’une personne traverse une difficulté ou qu’elle vient de subir un échec, nous pensons : « C’est bien fait pour elle ! Elle ne récolte que ce qu’elle a semé ! ». Au lieu d’avoir un cœur de compassion et d’amour, nous avons un cœur de jugement et de condamnation.
Face à des personnes qui sont dans l’erreur, nous devons au contraire les aider à sortir de leur aveuglement pour qu’elles puissent vivre un jour nouveau. Dieu a fait de nous ses témoins pour apporter sa lumière dans la vie de ceux qui vivent encore dans les ténèbres. C’est le désir du cœur de Dieu.
UN CŒUR DE PAIX
V.3 et 4 : « Les montagnes porteront la paix pour le peuple, et les collines aussi, par l’effet de ta justice. Il fera droit aux malheureux du peuple, il sauvera les enfants du pauvre, et il écrasera l’oppresseur ».
Salomon, qui a écrit ce psaume, ne prie pas pour avoir plus de troupes pour vaincre l’ennemi, il prie pour que la paix et la délivrance viennent de Dieu.
Christ apporte la paix dans ce monde qui vit dans la confusion et dans les conflits ; il est venu pour libérer les malheureux et ceux qui vivent dans l’anxiété ou l’angoisse.
De même, nous pouvons être des artisans de paix. Mais tout dépend du choix que nous faisons ! Allons-nous aider les personnes à sortir de leurs angoisses ou allons-nous les juger ? Allons-nous apporter la paix et l’unité ou allons-nous diviser ? Ce sont des questions que nous devons nous poser ! Mais je vous le répète : en tant qu’enfants de Dieu, nous sommes appelés à être des artisans de paix. C’est pourquoi nous devons rechercher la paix en toutes circonstances ! La paix doit être notre priorité.
Alors plutôt que d’exalter les problèmes des personnes, plutôt que d’entrer dans leur jeu et de les plaindre, aidons-les à sortir de leurs difficultés et de leur pauvreté.
V.12 à 14 : « Il délivrera le pauvre qui crie, et le malheureux qui n’a point d’aide. Il aura pitié du misérable et de l’indigent, et il sauvera la vie des pauvres ; Il les affranchira de l’oppression et de la violence, et leur sang aura du prix à ses yeux ».
Souvent, l’injustice et la dureté du monde provoquent en nous un sentiment d’incompréhension, et cela peut nous pousser à nous irriter contre Dieu. Nous lui faisons porter le poids des injustices que nous voyons ou que nous vivons. Mais cela nous empêche d’entrer en communion avec Dieu. Tant que nous sommes en colère contre Dieu, il ne fait pas de prodiges.
A maintes reprises, le peuple s’est irrité contre Dieu et s’en est éloigné. Mais la nature de Dieu ne change pas : elle est remplie de bonté et de compassion. Cette nature est immuable et sera toujours la même. Notre Dieu libère, il donne la vie, il transforme les destins. Dieu est un Dieu de victoire et non de défaite ! Tout cela fait partie de sa nature.
Alors pourquoi vivons-nous autant de déconvenues ? Parce que bien souvent, nous ne voulons pas entrer dans la dimension de Dieu : « Je n’y arriverai pas. Je baisse les bras. J’ai fait des efforts et cela n’a pas marché, alors j’abandonne. » C’est à croire que nous oublions Dieu.
Mais Dieu a toujours des projets et un avenir pour vous. Il veut que vous continuiez à aller de l’avant sans vous arrêter aux obstacles. Alors faites confiance à Dieu.
UN CŒUR QUI DONNE
Nous allons maintenant prendre pour exemple la parabole du fils prodigue, une parabole riche en significations. Elle raconte l’histoire d’un père et de ses deux fils. Un jour, le plus jeune des deux demande à son père la part d’héritage qui lui revient et décide de partir de la maison.
« Mon père, donne-moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien. Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche ».
Luc 15 v.12 et 13
Ce qui est à souligner dans ce passage est que nous ne connaissons pas beaucoup de choses sur le grand frère. Nous savons seulement qu’il travaille durement dans l’exploitation de son père. Les deux frères sont très différents : l’un ne pense qu’à s’amuser et à dilapider son argent, l’autre à travailler durement. Finalement, ni l’un ni l’autre ne reflète le cœur de Dieu.
Par contre, le père reflète le cœur de Dieu : un cœur bienveillant et rempli d’amour pour ses enfants. Le père donne sans condition à ses enfants, il ne regarde pas s’ils sont laborieux ou paresseux, avares ou dépensiers. Il donne car cela est sa véritable nature. Son cœur sait toujours rester généreux. En toutes situations, le cœur de Dieu reste généreux : il nous pardonne, il nous aime, il nous ouvre les bras, il nous bénit.
Mais l’attitude du jeune fils est révélatrice de l’absurdité de l’attitude humaine : il a gâché, il a gaspillé sa bénédiction. Et nous, lorsque nous recevons la bénédiction de Dieu, que faisons-nous avec ?
Le jeune fils prononce ces mots : « Donne-moi ». Il regarde à lui, comme nous-mêmes nous regardons souvent à nous : « Dieu, donne-moi ceci car c’est mon droit ! Et si tu ne me donnes rien, je ne pourrai rien faire ! ». Mais cette attitude égoïste du fils l’a conduit à vivre des déboires dans le monde : il n’a pensé qu’à son plaisir et finalement, il a tout perdu. Ensuite il retourne vers son père, humilié, en lui disant : « Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils ; traite-moi comme l’un de tes mercenaires » (verset 19). Son attitude a changé : avant, il réclamait ce qui lui paraissait être son dû ; maintenant, il implore son père de ne pas le rejeter et de le traiter comme un de ses employés.
Avant, il ne considérait même pas les employés, mais quand il a vu ce qu’était réellement la vie, alors il a commencé à considérer ces mêmes employés comme des personnes respectables. Son expérience lui a fait comprendre la valeur de son prochain.
Quand nous voulons changer, nous devons commencer par penser aux autres. Ce n’est pas en ne pensant qu’à nous que nous serons bénis ! Au contraire, cela a poussé le jeune fils à devenir misérable. Ce n’est pas non plus en demandant sans cesse à Dieu de nous donner sans avoir le désir de donner à notre tour que nous refléterons le cœur de Dieu. Notre bénédiction ne peut se réaliser que si nous pensons aux autres. Il est important que nous puissions comprendre ce principe et le mettre en application dans notre vie. Sortons de notre égoïsme pour aller dans la volonté de Dieu.
De plus, en disant « donne-moi ma part », le fils se place en position de réclamer ce qu’il veut plutôt que de recevoir ce que son père estime bon pour lui. Il dit « donne-moi » et non pas « Fais de moi, change-moi, donne-moi de devenir un homme ». Etre un homme ou une femme selon le cœur de Dieu signifie mettre sa vie au service de Dieu, et donc de son prochain. Alors, plutôt que de demander à Dieu de nous donner, demandons-lui de nous transformer afin de nous amener à vivre les projets qu’il a pour nous.
Avez-vous demandé à Dieu de vous transformer ? « Seigneur, fais de moi une personne qui marche selon ta volonté, qui va de l’avant, qui te sert ! ». La nature de Dieu est de donner, mais ce qui est triste, c’est que bien souvent nous ne comprenons pas la valeur de cette bénédiction et que nous la dilapidons.
Ne pensez pas que vous devez réclamer à Dieu pour recevoir de sa part. Mettez Dieu à la première place de votre vie ! Servez-le ! Et vous verrez sa bénédiction se répandre dans votre vie.
33 Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus.
Matthieu 6 : 33
Si vous travaillez pour la reconnaissance et la gloire, cela ne vous mènera nulle part avec Dieu. Mais si vous faites les choses afin que Dieu soit glorifié, en amenant des âmes à la repentance et à la louange de son nom, alors vous évoluerez et vous vous épanouirez dans ce que Dieu a prévu pour vous.
Chaque fois que nous faisons quelque chose, notre chair nous pousse à rechercher notre part du gâteau, ce que nous allons recevoir. Mais la bénédiction de Dieu est bien plus grande. Elle nous vient d’en haut et nous la recevons lorsque nous regardons à Dieu avant de regarder à nous. Alors oui, nos actes nous conduisent à être bénis, car nous agissons selon la volonté de Dieu et non plus selon la nôtre.
Dieu nous appelle à nous investir dans son œuvre. Lorsque nous nous levons pour le servir, il nous donne les talents nécessaires pour pouvoir agir. Dieu développe nos capacités afin de nous rendre autonomes dans nos activités. Ainsi, plutôt que de réclamer notre « part », nous devenons à notre tour une source de bénédiction.
Arrêtons de penser que notre bénédiction dépend des autres, mais recherchons à devenir nous-mêmes une bénédiction pour ceux qui nous entourent. Dieu nous a donné des bras et des jambes pour que nous les utilisions au service des autres.
Mais le problème est que beaucoup de personnes gâchent ce qu’elles possèdent soit parce qu’elles attendent trop des autres et pas assez de Dieu, soit parce qu’elles regardent avec envie la bénédiction des autres et ne voient plus la leur. Un enfant de Dieu n’est pas un spectateur mais un acteur de sa vie; il ne regarde pas, il agit. Et il cherche toujours à faire de son mieux.
Comprenez ceci : Dieu vous a donné les capacités pour grandir et évoluer. Il n’a pas fait de vous des personnes incapables ! Dieu a mis en vous des talents que vous devez travailler si vous voulez les voir porter du fruit !
Dieu vous donne les moyens d’être bénis et d’accomplir de grandes choses ! Dieu vous donne, mais est-ce que vous vous laissez façonner par sa main afin de devenir des hommes et des femmes selon son cœur ? Est-ce que vous voulez vivre la bénédiction de Dieu ?
Dans son cœur, Dieu veut que nous devenions une nouvelle personne. Il ne veut pas que nous lui disions « donne-moi » mais « fais de moi ». Nous devons aspirer à marcher selon les pensées de Dieu et à le servir. Nous devons avoir conscience des besoins de notre prochain sans pour autant condamner ses erreurs, son ignorance ni son aveuglement. Notre mission est de proclamer la Parole de Dieu afin qu’il soit glorifié.